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 Chaton, l'oeuvre inachevée ~ { Validé }

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Chaton
Artiste du Cirque
Chaton

Messages : 19
Date d'inscription : 21/03/2009

Fiche Administrative
Âge: 24 ans
Sexualité: ~ Artiste du Cirque.

Chaton, l'oeuvre inachevée ~ { Validé } Vide
MessageSujet: Chaton, l'oeuvre inachevée ~ { Validé }   Chaton, l'oeuvre inachevée ~ { Validé } EmptyLun 23 Mar - 7:20

~ Nom et Prénom : Nom comme prénom, il les a oubliés, ainsi que ceux et celles qui les lui avait légués.
~ Pseudonyme : Chaton
~ Sexe : Masculin
~ Age : 24 ans
~ Rang : Membre de la troupe de Mister J.
~ Orientation Sexuelle : À tout et à rien... Chaton subit le sexe plus qu'il ne l'assume. Lui, il est aux caresses et aux câlins, il est à l'affection et à l'attention qui vient avec l'acte, même si c'est une question de quelques minutes et de simple soulagement ou de défoulement pour l'autre. Il sait se contenter de l'amour le plus factice.

~~~~~

~ Description physique : La cage de la lionne est la dernière, tout au fond, et c'est toujours par celle-là qu'il termine sa ronde, mais ça, vous l'ignoriez, lorsque vous vous en êtes approché. À cette heure, la lumière cède sa place à l'obscurité, les gros chats s'éveillent enfin et les oiseaux s'endorment. Quant aux singes, ils observent, sans relâche, tout en prenant soin de vous préserver des secrets que semblent masqués leur pénétrant regard. Les félins ouvrent leurs grands yeux brillants sur une tente vide, à un visiteur près, vous, et s'approchent des barreaux de leur cage en marchant d'un pas lourd et silencieux à la fois. Loin d'ici, dans la jungle, la savane et la forêt, leurs frères et soeurs partent en chasse.
La cage de la lionne se rapproche, ou alors c'est vous qui vous rapprochez d'elle, lorsque vous croyez reconnaître dans la pénombre les iris brillants de ses grands yeux que vous découvrez verts. Les pupilles en sont longilignes, étirées verticalement. Mais en suivant ce regard fixement accroché au vôtre, vous vous rendez compte qu'il ne peut appartenir à la lionne, car il s'élève, s'élève, jusqu'à se trouver tout près du bas plafonnier. C'est le regard d'un homme qui vient lentement vers vous, dont le pas est ponctué par les accents d'un boitement. Il en vient éventuellement à sortir de l'ombre, pour entrer dans la pénombre, et c'est à ce moment que vous le reconnaissez, sans pourtant jamais ne l'avoir vu auparavant. Il est Chaton, et bien qu'il soit grand, vous le sentez petit, fragile... Peut-être à cause de sa minceur, de ses muscles qui paraissent accrochés à ses os et rien d'autre, enveloppés par une fine peau blanche, ou alors c'est ses épaules, qui n'ont absolument rien d'imposant, au contraire, et dont on devine trop aisément les os saillants.
Son visage se rapproche du vôtre, il est jeune. Ses traits sont délicats, on dirait ceux d'un enfant... Vous vous surprenez même à vous dire qu'il pourrait être beau, s'il n'avait pas l'air aussi triste et absent à la fois. Ce regard, il vous rappelle celui du tigre, un peu plus loin, et celui des félins en général. Jamais complètement avec nous, toujours ailleurs et ici en même temps...
Vous sursautez légèrement lorsque ses doigts, longs, fins, squelettiques, s'enroulent autour des barreaux de la cage. Il est si près... Sa tête se rapproche et, sans réfléchir, vous passez votre main sur ses cheveux en broussaille. Ils ne sont pas très épais, mais doux... Comme leur couleur vous le laissait imaginer, leur couleur particulière, bleue, comme le ciel.
Il porte ce que vous le verrez probablement toujours porter, un haut court sans manches, noir, ainsi qu'un short de la même couleur et tout aussi ajusté. Le vêtement lui encercle les hanches et, avec le haut qui s'arrête aux côtes, une large partie de son ventre blanc demeure à découvert. Enfin, en baissant les yeux, vous constatez que des cuissardes foncées lui couvrent les jambes du bout des pieds au haut des cuisses, ne laissant absolument rien entrevoir de sa peau.
Il vous touche, vous enserre avec douceur le poignet et entrouvre légèrement les lèvres, comme s'il allait dire quelque chose, mais le visage tantôt angélique vous apparaît soudainement inhumain; ses canines dépassent de quelques millimètres les autres dents. Vous reculez vivement, faites volte-face et retrouvez la sortie de la tente au pas de course. Derrière vous, Chaton s'est accroupi, le front appuyé contre le métal de la cage, entre ses mains agrippées sans force aux barreaux. Derrière lui, la lionne fait sa toilette.

~ Description psychologique :

Quelqu'un a dit : « Les caresses n'ont jamais transformé un tigre en chaton. » Mais à l'inverse, tous les chatons deviennent des tigres, petits ou grands, caresses ou pas, à l'exception d'un. Chaton est de ces âmes qui ne savent pas vieillir, mais le comparer à un enfant ne serait pas juste, malgré son goût pour le jeu, le rêve et les câlins. Son innocence n'a rien de juvénile, ce n'est pas tant par ignorance qu'il est comme il est, mais plutôt par pur sentiment, et son sentiment est aussi instinctif que tout ce qui le compose. Chaton est de loin plus disposé à ressentir le monde qu'à le comprendre, mais d'une certaine manière, l'on pourrait dire que c'est sa façon à lui de marier les choses à un sens quelconque, conformément ou non à ce qu'on appelle la « normalité ». Plus jeune, on ne l'a jamais poussé à dépasser de soit-disant limites, au contraire, Chaton a souvent été couvé et surprotégé, sinon carrément ignoré ou abandonné. En résulte un grand besoin de trouver réconfort dans les bras des autres. Mais on aura beau l'aimer et l'étreindre autant qu'on le peut, une faille le séparera toujours de la pleine conscience d'être bien ou heureux. Cette faille s'est vue s'agrandir au fil du temps, creusée par maints individus qui eurent la chance ou la malchance de croiser le chemin de Chaton. Et cette faille, elle est constituée du vide qui chez autrui, est comblé par la certitude d'être humain, et sans doute aussi par le sentiment de devoir l'être. Le désir de Chaton est d'être tout simplement lui, sans qu'on ne lui en demande plus.

Être Chaton, c'est être esclave de son instinct, pour le meilleur et pour le pire. C'est ne pas savoir réfléchir avant d'agir, ni être maître de ses émotions. C'est s'avérer insensible à certaines choses qui en bouleverseraient plus d'un, et au contraire, en vivre d'autres avec une brutale intensité. Amputé de sa famille en plus de sa jambe droite, il n'en reste apparemment pas moins indifférent à son sort d'orphelin et se complaît parfaitement dans le présent, comme il l'a toujours fait, et pour Chaton, le présent n'est pas l'affaire d'une année, d'un mois, d'une semaine ou d'une journée, non, le présent, c'est l'instant à la seconde près. Aussi, sans doute son rapport particulier à la réalité favorise-t-il sa relation avec le monde animal. Il s'accorde en effet très bien avec les bêtes, avec qui il aime d'ailleurs passer beaucoup de temps, et desquelles il parvient à s'approcher sans susciter chez eux la moindre crainte, mais ce, particulièrement chez les félins.

Plus ou moins à son aise avec les mots, même plutôt timide, Chaton parlera bien souvent plus qu'il ne le croit par le biais de son corps. Il est très expressif, mais on ne l'entendra pas souvent hausser la voix. Le ton qu'il adopte naturellement frôle le murmure et le timbre de sa voix est doux, limpide et, même si on le devine définitivement masculin, il possède malgré tout un caractère jeune.
Les yeux de Chaton ne sont pas que le reflet de son âme, ils semblent y être directement liés, mais en même temps, puisque l'être qu'ils sont sensés définir, ou exposer, peut apparaître en quelques sortes dénué d'humanité, ou du moins d'une partie, alors il ne sera pas rare d'être porté à y interpréter le vide, genre de vertige que le fait de n'appartenir à ni passé ni futur peut créer. Certains le soupçonneront peut-être de jouer un rôle, d'être un imposteur ou un manipulateur, mais leurs doutes ne trouveront jamais matière à se confirmer en Chaton.

Dans la troupe de Mister J., Chaton est bien comme il ne l'a jamais été auparavant. Il a sa tente, véritable paradis du confort, des jouets de magie à profusion, Joker, qu'il considère tel qu'un protecteur et plus encore, et même des animaux pour lui tenir compagnie, dont il aime prendre soin, bien qu'il soit préférable d'éviter de les ramener sur son nuage. Quant au fait de se retrouver sur le campus d'une école... Disons qu'il ne s'y sent pas toujours à son aise, mais fidèle qu'il est à Joker, il suit et suivra tant qu'il le pourra celui qui persistera à lui ouvrir ses bras, qu'importe la destination.

~~~~~
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Chaton
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Chaton

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Chaton, l'oeuvre inachevée ~ { Validé } Vide
MessageSujet: Re: Chaton, l'oeuvre inachevée ~ { Validé }   Chaton, l'oeuvre inachevée ~ { Validé } EmptyLun 23 Mar - 7:27

~ Histoire :

Les chatons, on les aime tant qu'ils sont petits et mignons, tant que leurs griffes et leurs dents ne représentent pas une menace. On les cajole, on les amuse, on en prend soin jusqu'à ce qu'ils grandissent et que le temps nous rattrape, comme il le fait toujours. Mais quand l'émerveillement cède sa place au banal du quotidien et que les mesurées minutes passées auprès de ces boules de poil se retrouvent à la suite de toutes ces tâches qui occupent nos vies, alors on sort une boîte de la garde-robe, on la vide de nos poussiéreux souvenirs et on y rangent les chatons. Ensuite, avec une dose politiquement correcte de remords au coeur, on profite de l'absence des enfants pour partir, boîte en mains, et laisser tomber le fardeau au milieu des vidanges qui, on l'espère, seront tôt récupérées le lendemain matin. Cela fait, enfin, on peut se permettre d'oublier, parce qu'après tout, ces chatons, ils étaient foutus d'avance, non? Ils n'avaient qu'à... ne pas naître.

« Oooh mais comment tu t'appelles, mon mignon? »

De tous ces chatons abandonnés sur tous ces coins de rues, certains mourront de froids, d'autres de faim, mais il y en a également une portion qui, bien qu'infime, s'avérera plus chanceuse que ses frères et soeurs, une portion qui, indirectement ou pas, revendiquera son droit à la vie.

« Pleure pas! Pleure pas! Maman Kitty va s'occuper de toi... si tu te tais! »

Elle poussa la portière camouflée dans le mur de lierres qu'était devenue la clotûre et s'engagea dans le sentier à peine visible au milieu des arbres, plantes et mauvais herbes divers qui surpeuplaient le jardin. La maison de briques était petite et, vu les planches de bois qui faisaient usage de fenêtres, mal éclairée mais, malgré cela, avec tous ces vieux meubles aux couleurs décolorées mais pas moins vives, il était plus qu'aisé de lui trouver un air chaleureux, sinon au moins sympathique. Et au beau milieu de ce décor siégeaient des chats, des dizaines, ils étaient partout, sur la table, les comptoirs, la commode, le canapé, les fauteuils, occupés à chasser une souris, un rat, ou encore à faire leur toilette, à aiguiser leurs griffes sur la tapisserie, à marquer leur territoire dans un coin, à profiter d'un rayon de soleil qui s'était glissé entre deux planches... Tous autant qu'ils étaient, ils régnaient ici en rois et, pour les servir, il y avait Maman Kitty.
Une fois son nouveau rejeton déposé sur un fauteuil, tout juste à côté d'un gros matou roux aux pattes blanches, Monsieur Mitaines, elle retira son énorme chapeau lilas, le posa sur une vieille patère mutilée et s'empressa de préparer le buffet des rois, consistant en un large bol de lait et une grande assiette de sardines.

« Voyons voir si t'arrives à te tenir sur tes petites papattes... »

Il tint, d'abord instable, mais parvint quand même à se joindre à ses nouveaux compagnons autour du bol, pour à son tour s'y abreuver, non pas sans manquer de s'y noyer préalablement. Il était maigre, blême, somme toute assez laid, mais il semblait si bien s'accorder avec les autres protégés que Maman Kitty, ses mains sur les os à peine charnus que constituaient ses hanches, se décida officiellement à le garder.

Souvent il pleura sans être entendu et, dans le cas contraire, il avait pour seules consolations l'indifférence des regards des félins et le son du téléviseur qui se mettait subitement à monter en flèche. Maman Kitty disait aimer tous ses protégés d'un amour inconditionnel, mais c'est sans hésiter qu'elle aurait avouer, si quiconque le lui aurait demander, qu'elle ne supportait pas le bruit des pleurs, peu importe celui qui en était l'auteur, qu'il soit chien, chat ou même humain... C'était pire qu'une allergie, au point où elle avait faillit s'en défoncer les tympans, de ses grands ongles sales.

« Mais qu'est-ce que c'est que ce chaton, docteur! Il pleure! Il pleure! Il fait que ça! »

Maman Kitty était folle, et à tel point qu'on crut nécessaire de l'enfermer dans un énorme bloc gris avec des vraies fenêtres et aussi des vrais barreaux. Sa maison devint le royaume des chats, et le dernier arrivé, le chaton, fut confié à un vieux couple qui venait de perdre leur chien dans un tragique accident. L'animal, disait-on, avait sauvé la vie du petit des voisins en se précipitant pour attraper la balle accidentellement tombée dans la rue, avant que le bambin ne l'atteigne, et ainsi, avait encaissé le violent choc avec la voiture qui venait, à la place de l'autre. Il s'appelait Bouboule, avait les dents carrément gâtées et faisait de l'embonpoint, mais jusqu'à la fin une place on ne peut plus précieuse dans le coeur de ses propriétaires, Jeanne et Robert, les voisins étant toujours demeurés quelque peu sceptiques quant aux véritables « intentions » du molosse.
Bref, de braves gens que furent les tuteurs du chaton, ils lui offrirent tout, soit un bol rempli de nourriture à tous les jours, de l'eau fraîche à volonté, une litière toujours propre, un tapis pour faire ses griffes, un coussin pour dormir, et même une clochette pour mettre autour de son cou. Et à qui oserait dire du mal de leur précieux, ils lui répondraient qu'ils avaient entre les mains un chaton racé très rare que seuls les fins connaisseurs sauraient apprécier à sa juste valeur. Hélas, même les plus fins de tous les connaisseurs sont voués à connaître le même sort que le plus pouilleux des vauriens, ils crèvent. Et lorsque cela arriva, le chaton, de retour à la maison après une promenade, en découvrant la scène sanglante, décida tout simplement de ne plus jamais rentrer à nouveau là, dès qu'il en serait sorti. Mais un jour, il tomba. Et les chats ne retombent pas toujours sur leurs pattes, il faut être stupide pour croire le contraire.

Au fond d'un puits gisait un corps blanc, à première vue inanimé, brisé, sans doute échappé, ou alors simplement jeté là, pour qu'on l'oublie.

« miaou »

Il a dit quelque chose? S'il n'avait pas été nu et que le timbre de sa voix qui, bien que juvénile, n'avait pas trahit l'homme en devenir, alors assurément auraient-ils crut qu'il s'agissait d'une femme. Mais puisque ce n'était pas le cas, ils se demandèrent sérieusement ce qu'ils pourraient faire de la chose une fois sortie de son trou. Ils ne surent, et s'en tinrent finalement à contacter les autorités par le biais d'une cabine téléphonique, avant de disparaître de cette histoire, la sienne, à lui, pas la leur.

« Comment tu t'appelles, mon gars?
-...ch...chaton...ch'ais pas..
- Tu te rends compte de la gravité de la situation? »

Il avait raison, le policier, seulement il avait également tort parce que, il n'avait pas idée à quel point ce que les médecins faisait couler dans ses veines était de la came haut de gamme...

« Écoute-moi bien... Dès que tu auras ton congé de l'hôpital, tu retourneras sur les bancs d'école et tu étudieras autant qu'il le faudra pour te dégotter un honnête boulot. 'Te permets pas de te gâcher la vie, jeune homme... T'en as qu'une.
Silence.
-J'en ai neuf... Plutôt sept ou huit maintenant... Ou alors six... Peut-être... J'ai perdu le compte... »

Partagé entre la crainte que le pauvre ne soit véritablement fou ou alors seulement entrain de se moquer de lui, le policier choisit de quitter les lieux et de tâcher d'oublier qu'il avait à son tour, comme maints autres, laissé tomber le chaton, dans sa boîte, au milieu des vidanges.

La première fois qu'il était tombé, d'un fil, il ne s'était jamais relevé seul. Sous le chapiteau, on avait crié, on s'était levé, question de mieux voir ce qu'il était advenu de l'acrobate. Ils ne virent rien, ou presque, et le peu que les quelques-uns d'entre eux parvinrent à voir, ils ne le virent pas longtemps parce que le blessé fut rapidement amené dans les coulisses, et le spectacle continua, enchaînant avec un numéro de dompteur de tigres. Le Scientiste hésita longtemps avant de prendre sa décision. De la jambe tordue, cassée, bleue, rouge, morte, il ne vit rien si ce n'est les dépenses et pertes qu'elle représentait.

« Merde... »

Sa création, son oeuvre, il risquait de le perdre, lui qui se rapprochait de plus en plus de la perfection, de l'ultime félin. Il lui avait donné le regard, la gueule, l'équilibre, et maintenant...

« Merde, merde, merde! »

Moment de silence, de décision.

« C'est bon sortez-le d'ici. »

La deuxième fois qu'il était tombé, il ne s'était jamais relevé seul. Au fond d'un puits, le félin inachevé avait attendu que le ciel, plafond de lumière dont était recouverte sa prison circulaire, ne l'avale, en vain. Comme un poisson soumis au sort qu'il soupçonnait l'attendre, il s'était laissé repêcher, couper en morceaux et, étonnament, soigner...

Et puis après...après... il s'est envolé sur un petit nuage.

~ Autre :

Spoiler:

~~~~~

~ Comment avez-vous découvert le forum? Par une suite de partenaires qui commençait par... *fait mine de réfléchir*
~ Étiez-vous sur l'une des anciennes versions? Non.
~ Avez-vous des questions ou des suggestions? Vivement les 10 caractères obligatoires dans le titre. <.<
~ Le forum vous plait-il? Oui! 8D

[fiche terminée.]
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Michiyo Ichihara
La Directrice
Michiyo Ichihara

Messages : 363
Date d'inscription : 07/02/2009
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Fiche Administrative
Âge: ~ 27 ans.
Sexualité: ~ Bisexuelle

Chaton, l'oeuvre inachevée ~ { Validé } Vide
MessageSujet: Re: Chaton, l'oeuvre inachevée ~ { Validé }   Chaton, l'oeuvre inachevée ~ { Validé } EmptyMar 24 Mar - 7:02

Très jolie fiche! ^^

Tu est validé! Bon jeu parmi nous.
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MessageSujet: Re: Chaton, l'oeuvre inachevée ~ { Validé }   Chaton, l'oeuvre inachevée ~ { Validé } Empty

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