Pandore StonyheartNouvel(le) Arrivant(e)
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 |  Sujet: Pandore Stonyheart ~ { Validée } Ven 11 Sep - 1:16 | |
| ~ Nom : Stonyheart
~ Prénom : Pandore
~ Sexe : Féminin
~ Age : 16 ans
~ Rang : Elève
~ Orientation Sexuelle : Aucune… Elle doit finir ses études avant, c’est le plus important comme le lui répète bien souvent sa mère.
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~ Description physique : Pandore est une jeune fille plutôt jolie, mais dont la beauté demeure toutefois assez discrète, elle n’éclaire pas les lieux ou elle apparaît de sa présence, ni même n’attire tous les regard lorsqu’elle paraît. C’est une beauté, somme toute banale, qui pêche peut-être par une timidité inconsciente. Les traits de son visage sont plutôt fins, encore empreint d’une enfance finalement pas si lointaine, qui se dispute la première place avec une féminité encore innocente. Ses grands yeux candides adouciraient le plus mal léché des ours, et bien mal en prendrait à celui ou celle qui oserait voir la moindre trace de duplicité dans ces derniers. Ses cheveux sont long, fins et roux. En y glissant les doigts avec délicatesse, on a le sentiment de caresser des fils soyeux et doux., un peu comme ceux d’une poupée de porcelaine ancienne. Bien qu’elle n’ai pas à rougir de son corps de jeune fille adolescente, elle ne le met jamais réellement en valeur tant ses tenues sont soignés et précieuses. Elégante, tel est le terme qui pourrait la définir en un seul mot. Ses habitudes vestimentaires sont à l’image de son éducation qui est celle d’une enfant de bonne famille, qui lui impose à chaque instant de garder une bonne tenue vis-à-vis des gens qu’elle côtoie chaque jour.
~ Description psychologique : Jeune fille aisée, Pandore n’est pourtant pas une de ces dévergondées maquillée à outrance, qui passent leur temps à dépenser l’argent qu’elles ne gagne pas par elle-même. Bien au contraire, c’est une adolescente discrète, sans pourtant être effacé. Légèrement timide sur les bords, elle est ce que l’on pourrait appeler une bonne fille. Obéissant à ses parents, à ses professeurs, elle n’est pas du genre à se rebeller pour une chose aussi futile qu’une punition injustifié ou bien encore un service demandé gentiment alors qu’elle n’en a pas vraiment le temps. Gentille, c’est un adjectif qui lui correspond assez bien en fait. Certains, aux langues bien mal pendues vous diront qu’elle est un peu trop naïve, mais ce serait une grossière erreur que de croire cela. Pandore est à l’image de l’eau qui sommeille… Calme et retenue en surface, mais bouillonnante dans les profondeurs de son âme. Evidemment, elle n’a que très rarement l’occasion d’en faire la démonstration, hormis en présence de ses camarades d’école et de ses amies proches. L’une de ses principales caractéristiques est de ne jamais élever la voix. En cas de conflit, elle préfère quitter les lieux et laisser passer l’orage, même si elle n’est pas particulièrement concerné. Elle déteste les discordes, les jugeant inutile et sans but. Dans cette optique, Pandore abondera généralement dans le sens de ses interlocuteurs si jamais le sujet devient quelque peu tangent. Reculer la première dans une discussion ne la dérange pas le moins du monde, n’ayant pas une passion effrénée pour l’orgueil et la fierté. Deux choses, certes importante, mais qui ne l’empêche pas de continuer sa petite vie si jamais ceux-ci venaient à se voir quelque peu écorné.
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~ Histoire : Contrairement aux belles histoires, Pandore est venue au monde au cours d’un matin pluvieux de novembre. Sa mère était entré en maternité la veille dans l’après-midi suite à des contractions de plus en plus rapprochés, et malgré cela la petite coquine enfoui au plus profond de ses entrailles s’était fait attendre toute une nuit durant. Lorsque sa mère vit son adorable petit visage poupon encore endormi de ce sommeil propre aux innocent que sont les nouveaux-nés, elle décida de l’appeler Pandore. Pourquoi ce prénom.. ? Elle avait décidé de la nommée ainsi, en référence à la fameuse boite de la légende. Tout comme celle-ci qui, sous une apparence agréable recelait les pires maux du monde, sa petite fille, sous son air merveilleusement angélique, lui avait pourtant fait bien des misères en se faisant ainsi attendre toute une nuit durant. Une référence tendre, que la jeune mère affectionna tout particulièrement au grand dam de son époux qui aurait préféré un prénom plus classique pour sa petite fille. Mais comme bien des hommes aimant éperdument leur femme, ce dernier ne savait rien lui refuser. Trois ou quatre jours plus tard, Madame Stonyheart pu enfin retourner chez elle et ainsi commença réellement la vie de la petite Pandore du même nom…
La famille Stonyheart est ce que l’on appelle des gens de la haute société. La mère, femme au foyer par excellence n’est pourtant pas inactive, et passe une grande partie de son temps à recevoir ou bien à organiser et participer à divers évènements, aussi bien mondains que philanthropiques. En l’absence de toute profession, elle n’en demeure pas moins une femme extrêmement occupée, mais qui trouve cependant toujours du temps pour voir sa petite fille grandir d’années en années. Concernant le père de Pandore, c’est un homme d’affaire très important, dont l’empire financier s’étend à travers le monde telle une gigantesque toile d’araignée. Il serait vain de définir avec précision ses activités, car celles-ci sont légion. Cela va aussi bien de la construction à la haute finance, en passant par le commerce ou bien encore le transport sous toutes ses formes. Présent partout sur la planète, la bonne tenue du conglomérat Stonyheart est très exigeante, et son dirigeant regrette bien souvent que ce dernier le prive de voir grandir sa petite fille aussi souvent qu’il le souhaiterait.
Pandore est donc venue au monde avec une cuillère en argent dans la bouche, et a eu ce que l’on appelle couramment une enfance dorée, entourée de serviteurs, de chauffeurs, de précepteurs et autres fonctions serviles que seule l’argent autorise. De fait, la petite fille à toujours eu ce qu’elle désirait sur un plateau, même si ses parents lui ont toutefois enseigné la valeur des choses… A leur échelle, bien entendu. Mais de manière naturelle, la fillette à rapidement emprunté la voix du respect vis-à-vis des autres, grâce aussi, il faut bien l’avouer, à sa nourrice qui s’occupait d’elle bien plus souvent que ne le faisait sa mère toujours en préparatifs d’un quelconque évènement social. De cette semi absence parentale, Pandore n’en souffrit pourtant pas, car celle qui s’occupait d’elle durant ce temps le faisait comme si elle était elle-même sa propre fille. La fillette aimait ses parents, et ces derniers l’aimaient eux aussi, assurément. Mais avec sa nourrice c’était quelque chose de différent. C’était un amour plus physique, ou la tendresse ne se limitait pas à de trop rares moments dans la journée. D’ailleurs, bien souvent la petite Pandore faisait ses adorables yeux de biche rempli d’innocence, auquel ladite nourrice ne parvenait jamais à résister. Elle la prenait alors tendrement dans ses bras, et lui faisait un très, très, très gros câlin… Ainsi, grandit la fillette… Entre le luxe de sa vie d’enfant unique, et la simplicité des gens qui travaillaient pour ses parents et elle. Peut-être, est-ce mélange des genres, qui l’a finalement rendu si humble en dépit de sa position sociale élevée. Pandore a évolué ainsi dans le temps, en prenant le meilleur, et parfois aussi le pire, avouons le, de ces deux mondes qu’elle partageait.
Quand fut venu le moment d’aller à l’école, Pandore exprima tout d’abord un virulent refus du haut de ses trois ans. Elle était bien chez elle après tout, tout le monde s’occupait d’elle et de elle seule… Elle ne voulait pas partager avec les autres enfants, ça non ! C’est à cette occasion, qu’elle démontra pour la première fois son entêtement qui par la suite se tempèrera heureusement avec la raison, mais sans jamais demeurer bien loin cependant. Il fallu un certain temps, ainsi qu’une certaine dose de psychologie de la part de tous un chacun dans son entourage, pour que Pandore accepte enfin de se résoudre à aller à l’école. L’acclimatation ne se fit pas sans heurts cependant, et bien des fois la fillette fit à nouveau part de son envie de ne plus y aller ç qui voulait bien l’entendre. Mais avec le temps, et avec l’âge, elle fini par se raisonner et cessa ses caprices afin de ne plus aller à l’école. En réalité, ce fut surtout la peine que son attitude causait à sa nourrice qui la décida à changer, plus que celle de ses parents qui se voyait quelque peu perdu dans cette situation. Pandore grandit, encore et encore, passant avec brio de la maternelle au cours élémentaire, avant de poursuivre vers le cours moyen. Bien évidemment, il s’agissait d’écoles privés de grand standing et non pas d’écoles publics qui, tous le monde le savait dans son milieu, n’avaient pas les moyens d’assurer un avenir correct aux enfants comme Pandore. Sans être parmi les meilleures de ses classes successives, la fillette ne déméritait pourtant pas. Ses notes étaient plus qu’excellente, et elle était extrêmement consciencieuse dans son travail, qu’il fut à l’école ou bien à la maison.
Comme toute petite fille de la bonne société, Pandore eu droit à des cours de piano. Elle se révéla d’ailleurs assez douée en la matière, même s’il était évident que ce n’était pas vraiment l’une de ses passions première. Ce que la fillette aimait par-dessus tout, c’était rêver. De longues heures durant, elle pouvait rester allonger sur la pelouse du parc de la propriété familiale, à ne rien faire d’autre que de contempler le ciel bleu et ses quelques nuages qui dessinaient sous ses yeux inventifs des formes plus amusante les unes que les autres. Oui, Pandore était douée pour rêver… Ce qui, malheureusement, n’était pas une réelle activité aux yeux de la plupart des gens, et notamment à ses de ses parents qui s’empressaient alors de lui trouver une activité bien plus enrichissante selon eux.
Lorsque la fillette fit ses premiers pas au collège, son caractère et sa personnalité se stabilisèrent quelque peu. Son éducation et la retenue qui y était inhérente la changèrent doucement mais sûrement en une jeune fille calme et douce, loin du garçon manqué qu’elle avait parfois pu être en quelques occasions. Elle commençait à être en âge de prendre conscience de son véritable statut sociale, et de tout ce que cela impliquait comme comportement digne de sa part. Entre le collège et le lycée, la petite fille céda rapidement la place à l’adolescente. Son innocence se fit plus trouble, sans pourtant s’effacer totalement et en gardant une prédominance évidente en certaines occasions. Cet épanouissement de sa féminité en devenir s’accompagna d’un étonnant développement de sa capacité à appréhender des domaines scolaires jusqu’ici territoires hostiles à son intellect de jeune privilégiée. Quel que fut les raisons de cette poussée d’intelligence soudaine, Pandore devint l’une des meilleures élèves de ses différentes classes. Certaines mauvaises langues vous dirons sans doute que cela est peut-être du au simple fait que la plupart des jeunes filles dans sa situation préféraient attendre que vienne le moment ou elles épouserait un bon parti qui subviendrait à leurs besoins, ou bien encore celui ou leurs parents leur trouveraient, de toute manière, un bon métier, sans qu’elle aient besoin de faire le moindre effort… Certaines, étaient en effet ainsi… Mais chassons cette déplorable vision des choses, et acceptons plutôt le fait que Pandore se soit effectivement ouverte au charme indéniable du savoir.
Une fois au lycée, l’adolescente commença à devenir femme… Mais pas tout à fait… En réalité, le terme de femme enfant était plus adéquate dans son cas. Son physique en s’affirmant de plus en plus mature, semblait pourtant lutter afin de conserver une certaine part d’enfance. Un sentiment encore renforcé par son attitude apparemment désintéressée vis-à-vis des garçons, ce qui ne manqua pas de soulever la curiosité de ses camarades de classes et de ses amies. La petite fille, qui, au début refusait obstinément d’aller à l’école, était paradoxalement devenue une élève studieuse et très attentive. Une des raison de ce comportement était aussi le fait que Pandore voulait que ses parents et sa nourrice soient fière d’elle. Les décevoir était une de ses plus grande craintes, et sans doute ceci la poussait-elle à en faire sans doute un peu trop. A sa décharge, il fallait reconnaître que sa propre mère n’était pas mécontente de cette situation. A ses yeux, Pandore était encore une enfant et l’idée que sa petite fille ai le moindre début de vie sentimentale lui été une idée des plus absurde. Elle été encore bien trop jeune pour cela, selon la mère qu’elle était.
Un matin, alors que elle allait comme à son habitude s’engouffrer dans la voiture qui la conduisait chaque jour à son lycée, Pandore fut hélé par une domestique qui lui tendit un courrier reçu la veille, mais que son absence l’avait empêché de se la voir remettre le jour même. Dans la voiture en route vers son lycée, Pandore observa la lettre avec attention et curiosité. Il n’y avait pas d’adresse, mais uniquement son nom et son prénom en une écriture manuscrite élégante et argentée. La jeune fille trouva la lettre jolie, avec ce curieux parfum d’ancien qui se faisait ressentir jusque dans la texture du papier lui-même. En la retournant, elle vit le mignon petit papillon sur fond de cire violette, et un sourire se dessina sur ses lèvres… Elle trouva cela si adorable… Ne pouvant contenir plus longtemps sa curiosité, Pandore ouvrit délicatement le courrier en arrachant doucement le sceau afin de ne pas l’abîmer. Quelque chose d’aussi mignon, elle allait le garder c’était certain. En lisant le courrier, une certaine interrogation s’afficha sur son visage. Les mots étaient bien choisis, les phrases tournés avec une élégance certaine… Mais… Outre la référence aux cours qui seraient apparemment donné la nuit, ce qui la surpris le plus ce fut le fait que cette invitation était pour une école artistique. Pandore jouait bien du piano, mais elle n’était pas vraiment une virtuose… Et en dehors de cela, elle ne pensait pas vraiment avoir de réels talents artistiques digne de ce nom. Alors que l’adolescente s’imaginait qu’il y avait eu une erreur de destinataire, la suite du courrier la détrompa. Une phrase en particulier la frappa. C’était comme si la directrice de cet établissement avait lu dans ses pensées… Une absurdité, assurément ! persuadée de l’erreur de destinataire, Pandore remit le courrier dans sa magnifique enveloppe et le glissa dans son agenda avant de l’oublier définitivement quelques heures plus tard. Elle en parlerait à ses parents, lorsque ceux-ci reviendrait de leur voyage.
La journée se passa tranquillement, entre les cours et les discussions ‘’entre filles…’’
Lorsque enfin Pandore quitta l’enceinte de son lycée, son attention fut attirée par une étrange voiture aux vitres teintées qui s’était stationnée non loin de la sortie du lycée. Elle l’observa quelques instants, mais aucun élève ne semblait s’y diriger. C’est alors que le contenu du courrier lu le matin même lui revint en mémoire… Deux jours… Le courrier avait été reçu la veille, il est vrai… Pourtant… Curieuse et voulant en être certaine, Pandore quitta doucement le trottoir et se dirigea en direction de cette voiture. Dans le pire de cas, elle passera pour une idiote, rien de bien déshonorant en fin de compte… Mais avant même qu’elle n’ai atteinte ladite voiture, la portière arrière de celle-ci s’ouvrit automatiquement, semblable à une invitation à monter à l’intérieur. Tout d’abord surprise, Pandore nia tout d’abord en se disant que ce n’était pas possible… Qu’elle n’avait pas sa place dans une école artistique… Mais si la voiture était effectivement ici… Elle avait pensé à appeler ses parents le soir même, mais si ce n’était pas une erreur alors ils savait déjà et avaient donc donner leur accord. Une moue de contrariété se dessina brièvement sur son visage. Tout de même, ils auraient pu la tenir au courant au lieu de faire tout ceci en secret. Mise devant le fait accompli, Pandore se résigna… Après tout, ce n’était que pour un an et ils y aurait certainement des cours autres que les arts, heureusement pour elle. Sinon, ses résultats se révèleraient sans doutes des plus calamiteux.
Résignée, l’adolescente pénétra alors dans la voiture et referma la portière en saluant d’un bonjour poli le chauffeur qui ne daigna pas répondre. Pandore haussa un sourcil en fixant le dossier du siège conducteur… Pour une école soit disant prestigieuse, le personnel avait l’air de manquer singulièrement de manière. Lorsque la voiture démarra elle osa une question et demanda au chauffeur ou était exactement cette fameuse école des arts nocturnes. Mais la encore, le silence fut sa seule réponse. Décidément, elle en toucherait deux mots à la directrice à son arrivée, mais si le reste du personnel était à la hauteur de ce chauffeur l’année risquait d’être particulièrement longue. Convaincu de l’inutilité de poursuivre dans une tentative de conversation avec le conducteur mal élevé, Pandore se laissa tomber de tout son saoul contre la baquette arrière tandis que son sac de cours reposait à ses côtés. Elle songea à ses bagages qui devaient sûrement être dans le coffre de la voiture. Ils avaient du être fait par sa nourrice fidèle devenue gouvernante, et elle espérait que celle-ci n’avait rien oublié de ce qu’elle emportait habituellement en voyage. Pandore regretta de ne pas avoir pu lui dire au revoir, mais des son arrivée à cette fameuse école elle lui passerait un coup de fil, c’était certain. Toute à ses pensées, Pandore sombra sans s’en rendre compte dans un sommeil inattendue. Ce fut une brise légère lui caressant le visage, qui la ramena agréablement à la réalité. A travers la vitre ouverte, sans doute par le chauffeur durant son sommeil, l’adolescente aperçut avec un réel plaisir une vaste étendue herbeuse défiler derrière un immense grillage noir qui semblait ne pas avoir de début, ni de fin. Au moins,, pourrait-elle s’adonner à son passe-temps favori lors de son temps libre. Lorsqu’elle vit le chapiteau bariolée planté sur le domaine, son sourire s’effaça quelque peu…
*Oh… Un cirque…*
Songea-t-elle alors visiblement déçue de cette vision qui ravissait pourtant généralement la plupart des gens. Peut-être, n’était-il ici que pour quelques jours… C’était une école des arts après tout, alors peut-être que ce cirque était ici pour donner quelques séances de spectacle. De toute façon, elle ne serait certainement pas obliger d’y aller. En revanche la vue du château et de la forêt raviva son sourire perdu. La bâtisse était immense, merveilleusement sublime… Un véritable château de princesse se dit-elle alors, toute fleur bleue qu’elle était. Lorsque la portière de la voiture s’ouvrit à nouveau après que celle-ci se soit arrêté devant les massives grilles forgés du domaine qui paraissait des plus immense, Pandore agrippa son sac de cours et se précipita au dehors afin de mieux appréhender toute la magnificence des lieux. Superbe, elle ne trouvait pas de meilleur qualificatif pour désigné cet endroit… Y passer une année entière serait assurément un véritable plaisir. Tandis que la voiture s’éloignait, en emportant avec elle ce chauffeur des plus déplorable, les larges grilles du portail s’ouvrirent comme par magie… Et alors, personne pour l’accueillir.. ? Décidément, le progrès était la mort de la politesse la plus élémentaire… Quoi qu’il en soit, la voiture avait disparue et elle s’avança d’un pas tranquille en direction du château tandis que le grincement du portail massif lui signifia que ce dernier était en train de se refermer.
Le domaine était magnifique, mais de prime abord l’accueil de cette ‘’prestigieuse’’ école n’avait pas l’air d’être à la hauteur du cadre…
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