~ Nom : MacNolan
~ Prénom : Morgan
~ Sexe : Féminin
~ Age : 17 ans
~ Rang : Elève
~ Orientation Sexuelle : Je ne suis pas du genre à m’arrêter pour une question de sexe… J’imagine que ça doit vouloir dire que je suis bi.

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~ Description physique :

Le premier mot qui pourrait vous venir à l’esprit en jetant un regard à la jeune Morgan, c’est indéniablement « poupée ». Non, pas de celles obscènes qui ne soulèvent qu’un vague intérêt purement physique. Mais poupée dans le sens de cette petite chose fragile au fasciés angélique, qui provoque un étrange élan de tendresse.
Morgan a tout pour plaire. Elle est absolument charmante. Elle n’est pas très grande cependant. Avec son mètre soixante-cinq, elle renforce cette impression de douce fragilité. Sa peau diaphane ne semble porter aucune imperfection. Elle a d’ailleurs l’air d’être très douce. Morgan possède des courbes déjà bien définies, qui sont toujours mises en valeur de manière innocente. Elle a souvent l’air d’être encore une enfant que la nature aurait rendu trop rapidement voluptueuse. Pourtant, ses membres sont fins, délicats, rendus gracieux par de longues années de danse classique.
Son visage fin s’orne souvent d’un délicat sourire, sublimant ses lèvres d’un rosé pur, innocent. Ses grands yeux verts pourraient en revanche paraître parfois troublants, alors qu’elle jette, bien malgré elle semble-t-il, un regard ambigu, auquel s’ajoute un mouvement sensuel de la main pour écarter quelques mèches de cheveux de son visage. De longs cheveux, mêlant l’or et le roux dans une cascade de boucles si parfaitement accordée à cette apparence de poupée.
A l’ensemble vient s’ajouter sa voix, douce, envoûtante quand elle n’ose que murmurer, et si puissante quand elle se met à chanter. Son père espérait faire d’elle une étoile à présenter sur une scène, brillante à Broadway. Mais il semblerait que malgré un talent évident, cette adorable Morgan se soit développée plus par l’exigence paternelle que par réelle passion, si l’on en croit ses yeux qui se baissent, alors qu’elle rougit d’embarras sitôt le rideau tombé.
Il est évident que la poupée préfère de loin se vêtir de robes. Ces robes qui s’envolent quand elle se laisse aller à une pirouette. Morgan n’aime pas les tenues trop provocantes, même si ses formes peuvent transformer un simple chemisier en objet de fantasme. Elle évitera mini-jupe, et corsets abusifs. Ses cheveux sont parfois noués en nattes, ou en une queue de cheval, mais des boucles sauvages d’échapperont toujours. Elle ne semble se soucier que du minimum vital pour faire une bonne première impression mais n’agit jamais comme ces jeunes filles de bonne famille qui confondent salle de classe avec podium de haute couture.

~ Description psychologique : Un minimum de 15 lignes est demandé.

Rien n’est jamais parfait. Si vous avez compris ce principe, alors peut-être aurez-vous une chance d’échapper à Morgan.
La poupée angélique cache à merveille un véritable monstre sans la moindre conscience. Sauf peut-être la conscience de soi-même. Ne vous y trompez pas, Morgan n’est pas du tout ce qu’elle paraît être. Oui, elle sera toujours charmante. Sa beauté angélique est une arme qu’elle a parfaitement apprit à utiliser avec le temps. Les années et la naissance de ses formes l’ont rendue redoutable.
Elle n’est en aucun cas grossière, menaçante, froide ou tout autre comportement qui pourrait trahir un manque d’humanité. Non, elle est pire que cela. Morgan fait partie de ces personnes qui savent à merveille jouer de tous les sentiments. Son père n’avait pas tort en désirant la voir sur les planches. Un artiste, chanteur ou danseur qui émerveille n’est bien souvent qu’un menteur qui abandonne sa personnalité dans les coulisses pour offrir de la beauté au publique. Pour Morgan, sa scène, c’est la vie.
Seulement la vie, c’est terriblement ennuyeux.
Alors pour tromper l’ennui, Morgan se trouve des jouets. Des divertissements pour obtenir ce qu’elle veut, pour s’occuper. Et toujours elle gardera un air d’innocence. Elle n’a pas vraiment d’ennemi. Qui pourrait en vouloir à une jeune fille aussi charmante en apparence ?
Mais c’est une peste. Et de la pire espèce. Morgan, c’est le genre de fille qui peut pourrir la vie de quelqu’un et paraître suffisamment innocente pour qu’une foule de personne en vienne à prendre sa défense si vous l’accusez. Morgan, c’est cette fée qui manipule, qui se joue du monde, qui use de tout et n’importe quoi pour vous faire chanter.
N’y cherchez pas une quelconque enfance malheureuse ou un vécu traumatisant. Certaines personnes sont mauvaises par nature, c’est ainsi, et c’est tout.
Mais rassurez-vous, elle n’est monstrueuse qu’avec les personnes qu’elle a choisies. Mieux vaut espérer ne pas être choisi. Détendez-vous. Le pire qu’elle puisse faire, c’est vous obliger à avoir suffisamment de remords pour vous empêcher de fermer l’œil la nuit. Même si il lui arrive d’avoir une petite tendance au sadisme sur le plan physique, elle n’est pas agressive. Mais une chose est claire : si vous n’êtes pas son jouet préféré, vous ne pourrez que la trouver adorable.

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~ Histoire :

C’était à l’aube d’un superbe jour d’automne que Morgan est venue au monde, à Dublin. Petite irlandaise pure souche, sa bouille de nouveau-né rendait déjà fous ses parents. Mais passons sur les quelques années de bonheur qui ont suivies. Car il était plus que clair que Monsieur et Madame MacNolan avaient désiré cet enfant et imaginaient vivre heureux tous ensemble jusqu’à-ce que la mort les sépare.
Finalement, ce commencement avait tout du conte de fée.
Mais cela ne dura pas, bien évidemment. Sinon l’histoire pourrait être ennuyeuse et Morgan n’aime pas l’ennui.

Avant même qu’elle ne soit en âge de débuter l’école, Madame MacNolan décéda. Ce fut une horrible tragédie. Les antidépresseurs qu’elle avalait régulièrement (j’avais bien précisé que le commencement de l’histoire n’avait du conte de fée que l’apparence) ont provoqué un petit caillot sanguin qui est venu boucher une veine du cerveau. Sans doute cette pauvre femme aurait pu être sauvée, si l’accident vasculaire cérébral n’avait pas eu lieu alors qu’elle était au volant de sa si belle voiture de luxe aussi tape-à-l’œil que mortelle. Malgré son jeune âge, Morgan dû bien comprendre qu’elle ne reverrait plus jamais sa maman. Ce fut sans doute pour cette raison très égoïste qu’elle pleura le jour de l’enterrement.

Puis, libéré malgré lui des contraintes conjugales, Monsieur MacNolan décida de quitter l’Irlande pour l’Amérique, là où il comptait bien faire fleurir sa petite affaire avec le merveilleux héritage laissé par sa défunte épouse. Il réussi d’ailleurs parfaitement à atteindre ses objectifs. Mais ne vous y trompez pas, le travail ne faisait pas de lui un mauvais père. Il adorait sa fille, sa si précieuse petite fée, sa Morgan adorée. Elle eut droit à la meilleure éducation, dans une école hors de prix. Et comme il était bien vu que les enfants de bonne famille pratique une activité noble, il l’inscrivit dans une école de danse, et au conservatoire. Depuis le début, Morgan n’avait à vrai dire que très peu de temps pour elle-même, ou pour des amis. Mais il fallait bien avouer qu’elle s’en moquait. Elle apprenait vite, cette charmante Morgan. Il était facile de constater que lorsque l’on a de bons résultats, lorsque l’on se montre doué, on est regardé. Et quand on est regardé, on peut obtenir plus de choses.
Alors elle a toujours donné le meilleur d’elle-même, dans des objectifs très égoïstes qui ne faisaient que ravir ses professeurs ainsi que son père. Il y eut d’ailleurs quelques querelles d’intérêts à ce sujet. Le professeur de danse souhaitait que Morgan vienne à ses cours tous les jours et le professeur de chant ne voulait rien céder qui puisse lui éloigner ce si charmant petit rossignol irlandais. Son père, lui, y voyait une future étoile vouée à la célébrité. Mais Morgan n’a jamais voulu de la célébrité. C’est gênant, la célébrité. Pour l’obtenir et la garder, il faut constamment se battre, au point de ne plus avoir le temps d’exiger réellement quoi que ce soit pour soi-même. Hors de question ! Ses grands yeux verts bordés de larmes eurent raison de l’ambition paternelle et Monsieur MacNolan ne changea donc rien à la vie de sa chère petite fille alors âgée de douze ans.

Mais quelque chose de bien pire se profilait à l’horizon pour Morgan. Monsieur MacNolan, tendre père aimant, soulevait les intérêts de nombreuses dames de bonne famille désirant se trouver un riche époux. La plupart des concubines ont été évincées par l’imagination toujours débordante de Morgan. Mais à l’heure ou ses formes apparaissaient, la proximité qu’elle conservait avec son père passait pour une relation abjecte. Elle dû bien se rendre à l’évidence : mieux valait que son père se trouve une greluche.

Le fameux jour arriva où cette femme fut présentée à la fille tant chérie. N’espérez pas y voir l’archétype de la marâtre jalouse et mesquine. Cette femme était absolument charmante. Il ne fut pas difficile de la pousser à aimer Morgan comme si elle eut été son propre enfant. Finalement, c’était une personne de plus qui pouvait la chouchouter. Pourquoi s’en priver ?
Mais il y avait mieux.

Cette femme apportait avec elle un fils, plus âgé que Morgan. Un jeune garçon issu de son premier mariage. Un garçon assurément plaisant. Un mauvais garçon qui voyait d’un très mauvais œil ce mariage avec un homme qu’il était certain de détester. D’ailleurs il détestait aussi Morgan, cette petite bourgeoise prétentieuse au visage si doux.
Enfin pendant la première année. Elle était si charmante avec lui, si pleine de bon sens qu’il abandonna vite sa bande d’amis délinquants pour s’occuper avec dévotion de sa petite sœur imposée par le mariage. Puis ils grandirent l’un et l’autre, et Morgan ajouta à sa palette d’outils son corps, en toute innocence. D’abord un camarade de l’école huppée, histoire de franchir le pas. Puis un professeur, histoire de faire chanter quelqu’un de plus influent. Puis son frère, qui fusillait du regard ceux qui s’attardaient un peu trop sur les courbes de sa sœur qu’il souhaitait protéger avec tant d’ardeur. Une ardeur qui amusait clairement Morgan. Cette ardeur qui trompait l’ennui et transforma son cher frère en jouet préféré. Elle l’aime, son frère. Il est de loin sa plus belle conquête. Beau, fort, si délicieusement soumis parfois…
Mais…

Cette lettre est arrivée. Que choisir, son jouet ou une nouvelle aventure ? La nouvelle aventure semble prometteuse…



~ Autre : Si un joueur est intéressé pour jouer le frère par alliance de Morgan, c’est bien volontiers ! Sa personnalité est laissée libre ainsi que son nom.
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~ Comment avez-vous découvert le forum? Une personne fourbe m’y a honteusement attirée.
~ Étiez-vous sur l'une des anciennes versions? Non
~ Avez-vous des questions ou des suggestions? Pas pour le moment.
~ Le forum vous plait-il? A première vue, je dirais oui ! Mais je ne suis pas encore au bout de mes surprises.

Encore une peste? Et bien, Emily va être contente! Ou pas xD;

Il y a quelques fautes par ci par là mais rien de bien grave, pense juste à te relire. =)

Fiche validée! Amuses-toi bien. :3