~ EAN 0 :: Résurrection
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 Sue Lovecraft ~ { Validée }

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Sue Lovecraft
Élève
Sue Lovecraft

Messages : 2
Date d'inscription : 05/03/2009

Sue Lovecraft ~ { Validée } Vide
MessageSujet: Sue Lovecraft ~ { Validée }   Sue Lovecraft ~ { Validée } EmptyJeu 5 Mar - 22:40

~ Nom : Lovecraft
~ Prénom : Susan, mais elle préfère qu'on l'appelle Sue.
~ Sexe : Féminin.
~ Age : 17 ans.
~ Rang : Elève.
~ Orientation Sexuelle : Bisexuelle.

~~~~~

~ Description physique :

Avec son port de tête bien droit et ses yeux exprimant toutes ses émotions, Sue semble n’avoir aucune faiblesse quelconque.
S’il y a bien une chose que l’on remarque chez elle, ce sont ses yeux, aussi noirs qu’une obsidienne et transmettant chacun de ses sentiments, chacune de ses impressions. Si elle vous déteste, vous le saurez tout de suite à sa mine forcée ou à son regard ennuyé à l’idée de vous parler. Elle n’est pas du genre à se forcer pour quoi que ce soit, préférant montrer clairement ce qu’elle éprouve plutôt que de s’obliger à rester avec telle ou telle personne.
Son visage ovale à la peau de nacre est semblable à ceux des poupées de porcelaine que l’on rencontre dans les magasins et devant lesquelles les petites filles ouvrent de grands yeux émerveillés. Ses traits sont constamment illuminés par des lèvres gourmandes s’étirant en un sourire espiègle qui change selon son humeur, nouvel interprète des sentiments de la demoiselle.
Encadrant ce visage, à priori dépourvu du moindre défaut si ce n’est une langue un peu trop active, des cheveux, noirs à la naissance et arborant à présent un brun chaud lui tombent le long du dos, s’arrêtant au quart du parcours pour s’enrouler de temps à autre en de grandes boucles, dépendante des décisions de la jeune fille le matin devant son miroir. Si les cheveux de ceux ayant des parents nippons ont tendance à être raides, Sue a toujours envié les occidentales et leur chevelure souple et a passé le début de son adolescence à essayer de faire en sorte que les siens soient comme elles. A présent, on peut dire qu’elle a réussi même s’il a fallu qu’elle les répare à grands renforts de soins capillaires et on peut dire qu’elle est plutôt fière du résultat. Autant dire que Sue est très fière de ses cheveux et gare à celui qui les touche ou essaye de la décoiffer. Elle y tient comme à la prunelle de ses yeux.

Son corps musclé par l’athlétisme qu’elle pratiquait régulièrement malgré les protestations de son médecin ne possède pas une taille très élevée à son grand désarroi, mais ses nombreuses heures de sport lui ont permis d’éviter les régimes draconiens que certaines de ses amies se sont infligées tout en la regardant avec envie. L’adolescente ne souffre d’aucun complexe lié à son corps et regarde avec dépit sa génération se morfondre face à une graisse un peu trop protubérante à son goût. Le physique ne fait pas tout.
Mais, sous ses airs de jeune fille inébranlable qu’elle se donne, Sue cache ses poumons, atteints d’un cancer et la rendant de temps à autre incapable de faire quoi que ce soit. Il lui est souvent arrivé de s’effondrer, crachant du sang, n’arrivant plus à alimenter son corps en oxygène, mais ses crises n’ont jamais détruit sa volonté et elle masque sa faiblesse, la rendant quasi indécelable pour tous ceux n’ayant pas assisté à ses crises.

Malgré les protestations de son père, un tatouage recouvre son omoplate droite, représentant un soleil tahitien. Elle présente six piercings à l’oreille gauche contre huit à l’oreille droite et est fière de cette démarcation vis-à-vis des autres.

~ Description psychologique :

Animée d’une très grande fierté sous ses grands sourires et ses airs d’angelot, la jeune fille ne résistera jamais à l’appel d’un défi. La compétition est, pour elle, primordiale et occupe une grande place dans sa vie ce qui a eu pour conséquences de la rendre incapable de rester silencieuse si on la cherche un peu trop.
Contrairement à toutes ces personnes froides et stoïques qu’elle regarde avec une envie non dissimulée, Sue a le sang chaud et la langue un peu trop pendue. Si elle a horreur des critiques et de l’hypocrisie, elle n’hésitera pas à déclamer haut et fort ce qu’elle pense de telle ou telle personne, ne se préoccupant guère des conséquences que peut déclencher sa franchise. Elle est de ceux qui foncent tête baissée avant d’agir, ne s’arrêtant qu’une fois qu’ils ont dit tout ce qu’ils ont à dire pour ensuite se morfondre dans les regrets… Mais attention ! Les regrets seulement, pas les excuses. Sa trop grande fierté fait qu’elle a du mal à aller chercher le pardon auprès de ceux qu’elle a offensés, se révélant d’une grande timidité et haïssant les rougeurs qui lui montent aux joues dès qu’elle se retrouve dans cette position si inconfortable. Elle se révèle, cependant, être une fille assez appréciée des autres, sa bouche étant sans cesse animée et figée dans un sourire joyeux, virant de temps à autre à la grimace lorsqu’elle n’obtient pas ce qu’elle veut.
Dans son esprit, tout est acquis, il ne reste plus qu’à essayer de mériter ce que l’on possède déjà, une philosophie bien étrange et qui, pourtant, s’est révélée utile les fois où elle flanchait.

Elle vit au jour le jour, ne se souciant guère d’hier et redoutant demain. Seul aujourd’hui trouve grâce à ses yeux et il sera inutile de lui évoquer les réminiscences d’une dispute ayant eu lieu longtemps auparavant, elle aura depuis longtemps fait en sorte de l’oublier. Les mauvais moments sont rapidement rayés de sa mémoire pour devenir de simples souvenirs qu’elle ne ressort que rarement et qui sont difficiles à déterrer pour ceux cherchant à la connaître un peu mieux.
Sue accorde très facilement sa confiance aux gens pour peu qu’elle les trouve un minimum sympathiques, mais la retire également au moindre problème. Si elle rayera la dispute de son cerveau, il sera néanmoins difficile de retrouver la même relation qu’avant avec elle. Tout peut être considéré comme une trahison et des choses, pourtant ignobles, peuvent être prises pour de la simple amitié.
Cet esprit farfelu et difficile à suivre donne lieu à une personnalité constamment en mouvement, changeante et instable, révélant une personne dont les prochains mouvements sont impossibles à prédire puisqu’elle les ignore elle-même. Sa réaction face à telle ou telle situation différera, en général, d’une personne normale.

L’adolescente aura tendance à avoir un ou deux amis proches à qui elle n’hésitera pas à confier ses maux du moment. Pour les autres, bien qu’elle soit très attachée à eux, elle ne les considérera pas de la même façon, allant jusqu’à les ignorer sans le vouloir, la faisant parfois passer pour une personne froide et distante. Elle change d’amis, varie dans ses relations et pousse parfois les gens à l’apprécier lorsque ceux-ci se montrent réticents à ses avances. Certains peuvent la trouver embêtante, d’autres stupide ou même carrément farfelue, elle n’accorde guère de crédit aux commérages et autres broutilles du même genre. Lorsqu’elle veut quelque chose, elle finit toujours par l’obtenir et elle le sait. Ce n’est pas parce que les autres n’aiment pas une personne que la jeune fille va la dénigrer elle aussi. L’opinion des autres lui paraît futile face au sien. C’est elle qui décide de ce qu’elle pense.
Vive d’esprit et intelligente, Sue est loin d’être naïve, mais il lui arrive de s’amuser à se faire passer comme telle si une personne cherche à lui faire du mal pour ensuite répliquer au centuple. Faire comprendre à quelqu’un qu’il vaut mieux ne pas la chercher consiste d’abord par répondre de manière décupler, considérant les bassesses vers lesquelles certains se rabattent comme ennuyeuses et inutiles. Ce mauvais goût à vouloir être méchante avec ceux qui le sont avec elle n’est pas pour plaire à tout le monde et l’adolescente a déjà eu des problèmes pour avoir été trop égoïste dans ses sentiments, ignorant l’avis de personnes ayant réfléchi au problème de manière plus sensée qu’elle.

La jeune fille est une personne vivant avec les pieds fermement ancrés sur la Terre, empêchant son esprit de s’évader, mais elle n’en est pas pour autant devenue froide et renfermée. Atteinte d’un cancer du poumon qu’elle a refusé de faire soigner, elle sait qu’elle ne vivra pas longtemps et compte bien en profiter, répugnant l’idée de gaspiller les années qu’il lui reste la tête dans les étoiles.

~~~~~


Dernière édition par Sue Lovecraft le Ven 6 Mar - 1:13, édité 2 fois
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Sue Lovecraft
Élève
Sue Lovecraft

Messages : 2
Date d'inscription : 05/03/2009

Sue Lovecraft ~ { Validée } Vide
MessageSujet: Re: Sue Lovecraft ~ { Validée }   Sue Lovecraft ~ { Validée } EmptyVen 6 Mar - 0:12

~ Histoire :

« Je vais mourir ? »

A cette question, l’homme reste silencieux, incapable de répondre de manière franche à la petite fille de dix ans qui lui faisait face, les yeux indéniablement secs. Il s’était attendu à des pleurs, à des cris de protestations, à des accusations de mensonges, à des hurlements déchirants, mais rien ne s’était produit…
Incapable de pleurer, incapable même d’exprimer sa douleur face à la vérité qui lui sautait à la figure, s’agrippant de toutes ses forces à son visage et plantant ses griffes emplies de venin dans sa chair, elle le regardait, attendant qu’il ouvre la bouche… Mais pour lui dire quoi ? Comme dire à une si petite fille qu’il ne lui restait que très peu de temps à vivre ? Qu’aucune médecine, qu’aucune technologie n’était capable de la guérir et que, malgré les médicaments qu’elle prendrait et qui auront des effets secondaires peut-être encore pires que la maladie, elle ne prolongerait sa vie que de quelques années seulement ?
Comment pouvait-il, en sa qualité de père, lui avouer une telle atrocité ? Qui lui avait mis un tel fardeau si les épaules ? Si, étant plus jeune, il avait su que sa profession de médecin le pousserait à devoir prononcer ces mots qu’il redoutait tant à son enfant, jamais il ne se serait lancé dans cette voie.
Il baissa la tête. Il ne pouvait pas la regarder. Lui-même n’acceptait pas la réalité, alors elle… Elle n’était qu’une enfant, une petite fille, et la mort ne devrait pas la guetter aussi tôt. Elle ne devrait pas être aussi proche. Sa mère était déjà morte en la mettant au monde, atteinte, elle aussi, d’un cancer et étant incapable de supporter l’accouchement, et voilà que sa fille la suivait, à peine dix ans après son décès. Lui criait à l’injustice et elle ne disait rien. Les rôles n’auraient pas dus être inversés ?

« Oui… Mais pas tout de suite. Peut-être que tu vivras encore quinze ans, peut-être moins. Nous allons tout faire pour retarder la progression de la maladie. Tu devras prendre des médicaments tous les jours, tu auras à supporter les effets secondaires, mais tout ça, ce sera pour ton bien… Est-ce que tu comprends, Sue ? »

La petite fille hocha la tête, souriant gentiment à son père.

« Je comprends Papa… Alors, s’il te plaît, ne pleure pas. »

Les doigts de sa fille frôlèrent son visage, effaçant les quelques larmes qui avaient trahi sa tristesse et sa faiblesse face à cette situation.

. :.


Les années passèrent. Cédant à tous ses caprices, son père accepta, après de nombreux refus, de la laisser pratiquer l’athlétisme. Elle s’essaya à toutes les disciplines qu’on pouvait lui proposer, désireuse d’emmagasiner les expériences dans le peu de temps qui lui était accordé.
Ce fut après être passée par le saut à la perche, le saut en longueur et toutes les sortes de course, qu’elle opta pour le saut en hauteur et le cent mètres, ignorant ses poumons qui criaient au supplice et lui demandaient d’arrêter les efforts trop intenses qu’elle fournissait pour eux. Pourtant, le travail de son souffle lui fut bénéfique et les médecins constatèrent, au bout de quelques années, une amélioration, minime, mais qui, pourtant, fut accueillie avec joie par son père.

Comme tous les enfants, elle alla à l’école où elle se fit de nombreux amis qui changeaient sans cesse. Soucieux de ne pas voir des signes de tristesse chez son enfant, son père l’envoya chez un psychiatre avec qui elle se lia d’amitié.

« Qu’est-ce que le bonheur pour toi ? »
« Le bonheur ? Une chose bien trop éphémère et illusoire pour que l’on puisse le garde auprès de soi. »
« Auprès de soi ? Comme un animal ? »
« J’imagine, oui. »


Si le bonheur était une chose en laquelle elle était incapable de croire, elle s’accrochait, cependant, désespérément à la vie, refusant de devenir l’un de ces personnages mélodramatiques qu’elle croisait dans ses livres de contes. Persuadée que si elle se laissait aller, sa maladie gagnerait du terrain, elle cessa d’y penser aussi souvent que possible, lui faisant obstacle et essayant tant bien que mal de l’occulter.

Pourtant, elle visita tous les hôpitaux de la ville, son père étant persuadé que les médecins faisaient mal leur travail et l’école lui fut interdite l’année de ses treize ans. Elle était trop faible pour s’y rendre et trop fatiguée pour suivre ses cours, les effets secondaires des médicaments qu’on lui faisait prendre la privant de ses forces et la rendant vulnérable. Elle était constamment sur les nerfs, s’énervant pour tout et pour rien, regrettant dès qu’elle les prononçait les paroles qui s’échappaient de ses lèvres pour frapper n’importe qui.
De son père aux infirmières en passant par les médecins chargés de prendre soin d’elle, personne n’échappa à sa mauvaise humeur et à son exaspération de se voir si faible. Ce fut cette même année qu’elle décréta qu’elle refusait désormais de prendre les médicaments qu’on lui imposait.
Rien ne changea sa décision, que ce soient les menaces ou les supplications, elle s’obstinait à ne pas vouloir prendre ce qu’on lui donnait et, au bout de quelques mois, si la maladie avait réussi à lui voler un peu de son temps, son visage avait repris ses couleurs et elle sentait que ses forces revenaient.

On l’autorisa à retourner à l’école où elle excella dans tous les domaines et, si l’athlétisme lui fut à tout jamais interdit, elle s’orienta vers la musique, ignorant les réticences de son père face à son entêtement et son insouciance malgré son cancer. Rien ne devait perturber sa progression et son développement, pas même celui qui s’occupait d’elle et qui avait tous les pouvoirs sur sa pauvre petite personne.

« Qui es-tu réellement ? »

Lui demanda un jour son psychiatre alors qu’elle s’en allait. Elle se retourna et sourit.

« Je vous l’ai déjà dit. Une simple personne de passage dans votre cabinet. »

Et elle ferma la porte.

Les crises se déclenchaient à intervalles réguliers. Il lui arrivait d’avoir deux mois de répit avant qu’elle ne s’effondre à nouveau pour se relever à chaque fois et continuer sa vie normalement, comme si rien ne s’était passé, au grand damne de son père qui était terrorisé à l’idée de perdre son seul enfant.
Il finit par se remarier à une femme que Sue n’appréciait que peu et qui apporta avec elle un enfant, de deux ans son cadet. Son nouveau petit frère la détestait et le montrait ostensiblement. Il la considérait comme un fardeau qui empêchait sa mère d’être vraiment heureuse avec son nouvel époux et ce fut ses sarcasmes permanent rejetant la faute des problèmes familiaux auxquels ils se heurtaient qui poussa Sue à vouloir entrer dans un pensionnat.
Pourtant, cette demande ne lui fut pas accordée et elle dû continuer à se rendre à l’école, encaissant sans broncher les brimades de son frère. Ce parfait drôle avait été pris d’une haine aussi soudaine que despotique à son égard et jamais il ne tenta de l’expliquer clairement à sa sœur. Tout au plus, sa mère n’était qu’une vague excuse et elle comprit bien vite que sa seule présence irritait son cadet.

Quelques temps après, elle reçut une lettre qui lui proposait de rejoindre une école. Le document n’avait rien d’anormal, mais elle eut beaucoup de mal à lui accorder un semblant de crédit. Il ne s’agissait que d’une énième farce de son nouveau frère pour la faire quitter le domicile familial. Pourtant, lorsque, deux jours plus tard, elle se retrouva confronter à une luxueuse voiture noire, elle trouva que la plaisanterie allait un peu loin. Elle accepta cependant d’entrer dans l’habitacle malgré ses réticences et, après s’être endormie, elle se retrouva devant un établissement qu’elle n’avait jamais vu auparavant.

~ Autre : Le père de Sue était d'origine anglaise et sa mère japonaise. D'où son nom et son prénom à connotations anglaises.

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~ Comment avez-vous découvert le forum? Euh... Un parteniariat je crois.
~ Étiez-vous sur l'une des anciennes versions? Nop.
~ Avez-vous des questions ou des suggestions? Aucune.
~ Le forum vous plait-il? Non, c'est une véritable horreur. Pourquoi me suis-je donc inscrite ? T^T .

[Et voilà ! Désolée pour l'attente >< ].
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Michiyo Ichihara
La Directrice
Michiyo Ichihara

Messages : 363
Date d'inscription : 07/02/2009
Age : 32

Fiche Administrative
Âge: ~ 27 ans.
Sexualité: ~ Bisexuelle

Sue Lovecraft ~ { Validée } Vide
MessageSujet: Re: Sue Lovecraft ~ { Validée }   Sue Lovecraft ~ { Validée } EmptyVen 6 Mar - 1:29

Ok, c'est tout bon!

Fiche Validée! =)
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MessageSujet: Re: Sue Lovecraft ~ { Validée }   Sue Lovecraft ~ { Validée } Empty

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